FAQ
Foire aux questions
Qui est le fondateur de YTY ?
Le fondateur de YTY est Olivier Cordoleani, CEO. Pour en savoir plus, veuillez consulter la page « Contact«
Quelle blockchain utilisez-vous pour émettre des tokens ?
Toutes les blockchains de type EVM peuvent être utilisées pour émettre des tokens sur notre plateforme.
Ethereum est la plus connue, mais nous pouvons émettre des jetons sur plusieurs dizaines de réseaux blockchain (ex : Binance Smart Chain, Wanchain, Skale, Rootstock, Ava/Athereum, Oasis Network) pour des raisons de scalabilité ou de frais de transactions. Les protocoles non-EVM peuvent être ajoutés à la demande et selon les besoins marché.
Puis-je transférer mon token vers une autre plateforme ?
Absolument, votre token est transférable vers toute plateforme partageant le même standard de jetons.
Quelle est la différence entre l'ERC-20 et l'ERC-1400 ?
- Les ERC (Ethereum Request for Comments) sont les standards qui permettent de déployer des smart contracts. Ils offrent chacun des possibilités différentes.
- L’ERC-20 est adapté pour modéliser des actifs dont la gouvernance est simple en terme de transférabilité.
- L’ERC-1400 utilisé par YTY Assets permet de modéliser des actifs dont les règles de transférabilité sont complexes. Par exemple, un titre de capital (Equity Token) est régi par un pacte d’actionnaire, des statuts de société, une réglementation d’autorités locales et/ou internationales. Ces règles sont complexes, versatiles et pour certaines, confidentielles. L’ERC-1400 est idéal pour répondre à ce type de contraintes.
Qu'est-ce qu'un token (ou jeton) ?
Qu'est-ce que la tokenisation ?
La tokenisation consiste à digitaliser la propriété des actifs sous forme de tokens. Dans ce contexte, la blockchain / DLT sert de registre infalsifiable pour stocker ces tokens.
La tokenisation va beaucoup plus loin que la simple digitalisation du droit de propriété, elle permet :
- Une transférabilité en pair-à-pair, par internet, sans intervention d’un intermédiaire financier (eg. teneur de compte)
- Une ouverture sur le marché mondial
- L’existence de liquidités sur des actifs actuellement illiquides (immobilier, art)
- La baisse des coûts grâce à la suppression d’intermédiaires
- Le fractionnement des actifs, c’est-à-dire la possibilité d’acquérir une fraction de token
- Une grande transparence grâce à un audit fiable (non-répudiable) et en temps réel
- La programmabilité des actifs, grâce aux smart contracts.
Quels sont les avantages de la tokenisation ?
Cela dépend du profil des utilisateurs qui peuvent être soit émetteurs de titres financiers, soit intermédiaires financiers, soit investisseurs. Aujourd’hui, quand on achète des actions auprès d’un courtier en banque, les titres sont stockés dans leur base de données, dans un système « siloté », avec l’indispensable infrastructure financière de règlement-livraison. Avec la blockchain, les titres existent sous forme de jetons et sont transférables d’une plateforme à l’autre. Là réside le but de la tokenisation. Cela permet de donner à l’investisseur la souveraineté totale sur ses actifs. Il peut déléguer la conservation de ces derniers à un acteur tiers, mais il est également en capacité de les conserver lui-même ou bien de les vendre directement (transférabilité qui implique l’existence de la liquidité et améliore le ratio de risque), sans passer par un courtier ou un marché organisé, en clair, sans intermédiaire. L’investisseur peut également vendre partiellement une action (principe de fragmentation de l’actif), ce qui est impossible si l’on passe par les mécanismes traditionnels. La tokenisation des actifs va incontestablement permettre, par exemple, de stimuler l‘investissement en titres non cotés.
Qu'est-ce qu'une blockchain ?
Un registre distribué (ou partagé) est un registre simultanément enregistré et synchronisé sur un réseau informatique, qui évolue par l’ajout de nouvelles informations préalablement validées par l’ensemble du réseau et destinées à ne jamais être modifiées ou supprimées.
Un registre distribué n’a ni administrateur central ni de stockage centralisé des données.
Une forme de registre distribué est la blockchain, qui peut être publique ou privée.
Mais tous les systèmes de registre distribué ne s’appuient pas sur une blockchain pour exécuter avec succès un consensus distribué : la blockchain n’est qu’un type de structure de données qui peut être utilisé dans un registre distribué.
Le qualificatif « blockchain » ne s’applique qu’aux registres de transactions de forme linéaire (eg. Ethereum, Bitcoin, Tezos, Cosmos, Substrate) et non aux systèmes basés sur des graphes acycliques (eg. Tangle, Hashgraph), ni aux systèmes clé-valeur couplés à un arbre Merkle (eg. MS CCF).
Qu'est-ce qu'un smart contract ?
Un smart contract est un programme exécuté par tous les validateurs d’un réseau. Son exécution est déterministe et fait l’objet d’un consensus entre les validateurs avant qu’ils ne puissent modifier l’état de la blockchain. Le smart contract permet une grande fiabilité dans l’exécution, une transparence totale ou sélective et la traçabilité de son exécution. Les smart contracts les plus connus sont ceux basés sur les modèles ERC proposés par Ethereum. Cependant, cette technologie est possible sur de nombreuses autres blockchains.
Quel est le degré de maturité du marché de la tokenisation des actifs financiers ?
Clairement, même si la tokenisation des actifs fonctionne aujourd’hui très bien et apporte de vrais bénéfices, nous n’en sommes qu’au début. Le marché, permis par la technologie blockchain, est loin d’être mature tant du point de vue de la technologie que de la réglementation. Concernant ce deuxième point, précisons toutefois que la France n’est pas trop mal placée, tout comme le Luxembourg, la Suisse et l’Allemagne. Du point de vue du marché, certaines banques, s’y intéressent et commencent à lancer leurs solutions, comme d’ailleurs certaines start-up, mais elles restent peu nombreuses en Europe.
Qu’en est-il pour l’émetteur de titres financiers ?
L’un des avantages qu’il va en tirer réside dans la rapidité avec laquelle il peut émettre des jetons, à des coûts maîtrisés, c’est-à-dire dix à cent fois moindres qu’une cotation en bourse. Notre plateforme permet non seulement de tokeniser, mais également, en amont, de créer des opérations d’offres publiques ou privées de vente de jetons avec l’ensemble des processus nécessaires à de telles opérations : appel aux investisseurs, conformité aux différentes réglementations (MiFID II, AMLD5, RG AMF), contrats et pactes, tout cela s’effectuant de manière automatisée, grâce à des workflows mixant regtech et fintech. Résultat : les délais de transferts et « settlement » sont réduits à quelques minutes contre deux à trois jours (voire 10 jours dans certains cas) sur les marchés classiques.
ICO – Initial Coin Offering
YTY ASSETS pour vos levées de fonds
Un nouveau mode de financement

Créez un utility token qui sert votre communauté et votre projet.
- Une ICO est une méthode de levée de fonds, fonctionnant via l’émission d’actifs numériques, appelés tokens ou jetons, échangeables contre de la monnaie FIAT ou d’autres actifs numériques.
- Ces tokens donnent accès aux produits / services du projet qui les émet. L’ICO est une forme de financement non dilutive pour les entreprises.
Les principaux pain points des ICO
- Gestion des usages non conventionnels : en pratique, le comportement des investisseurs lors des ICO est très différent de celui pour les investissements traditionnels. L’émetteur doit s’y adapter pour assurer productivité, efficacité, satisfaction des investisseurs et bonne image publique.
- Processus KYC / AML : selon les juridictions les exigences KYC / AML sont plus ou moins complexes (documents différents, live selfie au-delà de certains montants investis…).
- Scénarios de paiement et réconciliation automatique : apporter l’ensemble des moyens de paiement souhaité pour payer en fiat ou crypto, puis automatiser la réconciliation avec les souscriptions et simplifier considérablement, avec un gain de productivité énorme à la clé, le traitement des encaissements non exacts.

STO – Security Token Offering
YTY ASSETS pour vos titres financiers
L’investissement traditionnel. En mieux.
actions, obligations, immobilier, parts de fonds

Vous voulez que l’investissement soit :
Abordable
Simple
Conforme
Faible en Risque

- Tokeniser n’importe quel titre (CFI), y compris les actions, les obligations et les parts de fonds
- Gérer les différentes catégories d’actions
- Négocier de gré à gré via un tableau d’affichage
- Rester conforme en temps réel avec les réglementations et les accords des détenteurs d’actifs, avec un moteur de règles
- Choisir parmi +30 blockchains et en changer si vous le souhaitez
- Procéder à une récupération des jetons
- Mettre en place des procédures KYC adaptatives
- Permettre des réconciliations automatisées
RTO – Royalty Token Offering
YTY Assets pour vos royalties
Revenue Based Financing 2.0
Un nouveau modèle de financement alternatif. Tokenisé pour la liquidité.

Le Revenue based financing (RBF) lève des capitaux en échange d’un pourcentage de revenus pendant une période donnée jusqu’à ce qu’il soit remboursé N fois – ou plus longtemps jusqu’au recouvrement.
Sans dilution – Sans dette – Faible en risque
RBF est particulièrement intéressant si la visibilité sur les revenus est bonne : scénarios avec des revenus réguliers (SaaS, locations…), business plans validés par une due diligence et/ou un scoring….
Les principaux pain points du Revenue Based Financing
- La liquidité : l’absence de marché secondaire fait qu’il est très difficile pour un investisseur de revendre son investissement.
- L’automatisation : des processus automatisés de bout en bout augmentent la productivité tout en réduisant les coûts et les taux d’erreur.

RTO = Crowdfunded RBF

- les investisseurs apportent des fonds à l’entreprise
- les investisseurs reçoivent des droits sur les redevances (tokens)
- les clients paient l’entreprise pour des services
- X% paie les investisseurs au prorata de leurs tokens
- les investisseurs peuvent échanger leur redevances
Pour chaque investisseur, les redevances sont régies par un contrat formel, qui prend fin lorsque l’un des trois scénarios suivants se produit :
1 – Le plafond des redevances (royalty cap) est atteint
2 – La période d’engagement est terminée et l’investisseur a récupéré au moins son montant financé
3 – La période d’engagement est prolongée au-delà de sa durée initiale jusqu’à ce que l’investisseur ait récupéré le montant financé